Qu’est-ce que Hand to Hand ?

Il s’agit d’une association de bienfaisance suisse. Cette organisation caritative se caractérise par un financement opaque. Elle se distingue par son mode opératoire et par sa transparence. Elle se démarque aussi par ses standards de gestion hauts de gamme. Mathieu Sbai est un entrepreneur qui innove et qui propose un concept positif comme Hand to Hand. Ce dernier est bénéfique à de nombreuses personnes.

mathieu sbai

Une association pour couvrir la malfaisance

Commençons par parler d’un sujet assez sensible. Les personnes charitables cherchent à aider celles qui sont dans le besoin. Pourtant, le domaine humanitaire attire de nombreux individus malveillants. En effet, l’humanitaire brasse de grosses sommes d’argent. Les donateurs deviennent des victimes, car l’argent alloué aux actions caritatives servent à enrichir les propriétaires des associations.

La bannière humanitaire est une couverture pour dissimuler de nombreuses tromperies. Ces dernières prennent différentes formes. L’ONU a fini par alerter le monde depuis son site. Les donateurs peuvent devenir moins généreux. Il faut donc prôner les procédures claires et les comptes transparents. L’association Hand to Hand s’attache justement à atteindre cet objectif.

Une visibilité complète et une absence d’intermédiaire

L’association Hand to Hand tire de nombreuses leçons de ces constats aberrants. Elle a été fondée par des étrangers et des citoyens suisses. Son but est de mettre en place une infrastructure pour financer des besoins identifiés et précis. Les donateurs doivent les définir à l’avance et prouver leur existence.

Mathieu Sbai parle des besoins qui couvrent un éventail large allant des nécessités en matière d’éducation aux diverses exigences en matière médicale. D’autres tournent autour de la nourriture, des constructions et de l’accès à l’eau potable.

Les champs d’intervention de l’homme tendent à s’élargir. Il importe de tenir compte des crises économiques et financières. Les victimes innocentes de guerre ne sont pas en marge. On considère aussi ceux qui souffrent de la faim et de l’immigration forcée. Ces situations requièrent l’intervention des différentes associations de bienfaisance. À côté, il faut surmonter les duperies en tout genre.

Renier l’aide des intermédiaires pour prévenir les fraudes

Le bénéficiaire du don habite souvent dans un pays éloigné de celui du donateur. Ainsi, un bienfaiteur suisse peut financer divers projets dans le monde entier. Ce sont par exemple :

– L’envoi d’aliments au sein de pays asiatiques touchés par la faim.
– La création d’un accès à l’eau potable en Afrique.
– Le financement de soins médicaux en Amérique latine
– La reconstruction d’infrastructures scolaires et de maisons au sein de région touchées par la guerre.

On prend garde aux charlatans qui ont recours aux technologies de l’internet pour tromper les donateurs. Ces trompeurs prétendent être sur place et disposer d’une antenne locale ou régionale. C’est ainsi qu’ils collectent les dons depuis des années. Hélas, ils les utilisent à des fins personnelles sans résoudre les problèmes en lien avec la pauvreté, la famine et la maladie. Il faut se méfier de ces intermédiaires. Les fondateurs de Hand to Hand suppriment tout lien avec ces intermédiaires.

mathieu sbai

Hand to Hand : comment elle opère?

Les contrôles et les mises en relation se font à la main pour le moment. Les membres de Hand to Hand cherchent souvent des personnes nécessiteuses dans l’entourage. Elles profitent de ces occasions pour faire des dons.

Pour éviter les ruses en tout genre, l’association fait un suivi de l’utilisation des fonds. Ainsi, un donateur qui finance la construction de la maison d’une famille défavorisée suit l’avancement des travaux de près. Il accède à un décompte qui contient tous les détails. Cela permet de prévenir les abus. En outre, on préserve l’anonymat du donateur.

Le contrôle et la transparence des dépenses restent capitales chez Hand to Hand.

Les apports de Mathieu Sbai pour Hand to Hand

Mathieu Sbai, entrepreneur de renom, ne se contente pas d’inculquer les bases de sa célèbre méthode « Aleph ». Il poursuit sa lancée en améliorant la gestion des associations caritatives. Il tente d’instaurer la transparence dans le secteur humanitaire. Il propose l’innovation pour la mettre au service de ces associations caritatives.

Mathieu Sbai : un entrepreneur unique

Mathieu Sbai a des centres d’intérêts variés. Il se présente comme un vrai caméléon qui s’adapte à toute sorte de milieu. Il peut y apporter des améliorations grâce à ses idées efficientes. Consultant en matière de système d’information, il a créé la méthode Aleph. En outre, il est l’auteur du « Village de l’Emploi ».

Polyvalent et touche-à-tout, Mathieu Sbai est une personne créative. Sa motivation et son déterminisme n’ont aucune limite. Ainsi, il se lance dans divers projets afin d’y apporter des améliorations.

Mathieu Sbai, une vision d’avenir

Mathieu Sbai n’en reste plus à l’insertion professionnelle et à l’éducation. Il voue aussi son temps au secteur humanitaire.

Innover

Mathieu Sbai pose des constats avant d’entamer des travaux. Il propose ensuite des solutions révolutionnaires. Son but est d’obtenir des résultats concrets.

Changer les codes

Mathieu Sbai préfère balayer les croyances et règles de la société. Il les considère comme contre-productives. C’est pourquoi, la méthode qu’il propose (Aleph) connaît un vrai succès.

Modifier le rythme

Mathieu Sbai travaille également sur la temporalité. Il propose de raccourcir les différentes étapes chronophages sans faire de compromis sur la qualité.

Donner différentes réponses efficientes

Mathieu Sbai nous invite à faire un travail de définition des besoins et d’analyse avant de donner une réponse aux problématiques. Cette technique s’applique à n’importe quel domaine dont l’éducation et la formation. Cette vision de Mathieu Sbai lui permet de mener différents programmes à bien. Ce sont notamment FAHM3, le Village de l’Emploi, ISOSET, Hand to Hand et Aleph.

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